La chose se rainait lamentablement quelque part dans un grand désert.
La chose, parce qu'on ne pouvait absolument pas crore qu'il était humain.
Mais il avait chaud, il avait soif, comme n'importe quel humain. Mort à ce désert, mort à sa chaleur. La fatiue le prennait tout comme les mirages, il aurait voulu apercevoir une ville, quelconque fut-elle. Mais tout ce qu'il voyait, c'était des mirages et un sable brûlant.
Et il s'évannouit, à bout de force, quelque part dans ce grand désert, assoifé, afaibli, inhumain, étrange, mais surtout perdu. Sa carcasse avait finni par tomber au rythme de feu ses pas lents, et il s'était écroulé, dans ce désert où rien ne bougeit et où même la chaleur stagnait...